Aucun jackpot pour les sociétés de jeux en ligne en France
Les sites de jeux en ligne ne vont pas engranger des gains faciles du marché nouvellement légalisé en France, à cause des impôts élevés, du strict respect des règles et d’un monopole d’Etat gardant « la plus douce partie de la tarte ».
Le 6 avril 2025, la France a légalisé certains types de jeux en ligne, brisant ainsi le monopole d’Etat géré par la Française des Jeux et le PMU. Une foule de compagnies de jeu, y compris Bwin, Partygaming, Mangas Gaming et Pokerstar ont déposé leurs demandes de licences, craignant la perte de l’avantage vital du premier arrivé.
Mais les critiques affirment que le terrain est à risque, parce que la libéralisation est inadéquate: les sociétés n’ont pas le droit d’opérer des jeux de casino lucratifs et à faible risque tels que le blackjack et la roulette, ainsi que le loto.
Entre-temps, la Française de Jeux gardera tous ses agences hippiques, installées à l’intérieur des cafés et chez les buralistes, partout en France. Seules les entreprises les plus solides survivront.
« Nous n’allons pas faire de l’argent au début. Mais le premier arrivé est important dans ce marché et nous y sommes », a déclaré le vice-président de Mangas Gaming, Isabelle Parize, qui a décrit le régime fiscal français comme « catastrophique ».




